Pack TRAUMATISMES PSYCHIQUES
N° 176 Le traumatisme du viol
N° 200 Le traumatisme psychique
N° 271 Familles incestueuses
N° 272 « Je suis traumatisé ! »
N° 176 Le traumatisme du viol
N° 200 Le traumatisme psychique
N° 271 Familles incestueuses
N° 272 « Je suis traumatisé ! »
Chez les adolescents les plus fragiles, les attaques du corps, et notamment les scarifications, permettent d’avoir accès aux enjeux intrapsychiques en mal de résolution. Illustrations avec Mia et Alexane.
Face à un événement traumatique en milieu professionnel (suicide, agression, catastrophe naturelle…), des interventions psychologiques peuvent soutenir rapidement les salariés, sur le lieu même du travail.
Le deuil est un phénomène de détachement progressif du lien affectif, qui se produit un certain temps après la mort d’un être cher. Dans une société où les rites mortuaires disparaissent, renouer avec la parole autour de la mort reste la meilleure façon de soutenir les personnes endeuillées.
La perte d’un bébé pendant la grossesse, à la naissance ou peu de temps après, nécessite un travail de deuil singulier, encore trop souvent méconnu malgré la mobilisation croissante ces dernières années des professionnels et des associations de parents. Il s’agit alors d’accompagner les parents, pour leur permettre d’élaborer et de retrouver une créativité psychique.
Plutôt que de chercher, vainement, à les protéger, on devrait reconnaître aux enfants le droit à vivre tout de la vie, y compris donc la mort, à l’unique condition de mettre des mots sur ce qu’ils vivent et de donner du sens à la vie.
Face à un événement traumatique grave, comment dire l’indicible ? Le clinicien est une sorte de passeur que la personne victime vient
interroger sur son identité d’être humain et sa capacité à survivre aux mots broyés par le trauma.
Tout comme elle est nécessaire au développement de l’enfant, la tendresse est une qualité relationnelle évidente
qui s’impose dans la clinique du psychotraumatisme. Exploration du concept, entre théorie de l’attachement et
psychosexualité psychanalytique.
L’entrée en institution reste une étape difficile pour la personne âgée, qui la plupart du temps, s’y refuse. Dans ce contexte, accepter son non-consentement, et la proximité de la mort, peut donner un prix à ce qui peut être encore vécu, et ouvrir à l’inattendu.
L’utilisation quasiment « en routine » des isolements et contentions est le symptôme d’une institution psychiatrique malade. Il est donc salutaire que le législateur enjoigne de faire évoluer les pratiques. Point de vue d’un soignant engagé