Une relation privilégiée
Le temps de l’injection mensuelle d’un antipsychotique à libération prolongée peut être propice à renforcer l’alliance thérapeutique. Illustration avec Ophélie.
Infirmière, Hôpital de jour pour adultes, Association de santé mentale de Paris 13e.
Virginie travaille depuis plusieurs années en structures de soins extra-hospitalières. Au fil des jours et des médiations proposées aux patients, elle tisse avec ses collègues des soins « sur mesure » et nous fait partager son bonheur de soigner.
Le temps de l’injection mensuelle d’un antipsychotique à libération prolongée peut être propice à renforcer l’alliance thérapeutique. Illustration avec Ophélie.
À 70 ans, Yvette, une patiente psychotique, sollicite les soignants de manière incessante avec ses problèmes de constipation… Seuls les groupes thérapeutiques échappent à sa plainte.
Jeanne, la soixantaine, se présente chaque matin à l’hôpital de jour pour prendre son traitement. Ancienne alcoolique, elle reste comme hantée par son passé…
Chaque matin, à l’hôpital de jour pour adultes, les usagers qui le souhaitent participent au groupe « Almanach », pour démarrer la journée du bon pied… Un rendez-vous précieux !
En vue de son départ de l’institution, Anthony, 20 ans, rédige son « projet de vie » avec l’infirmière. L’occasion d’affirmer ses goûts et ses choix…
A 22 ans, Madison, qui souffre de psychose infantile, reste très fusionnelle avec sa mère. Celle-ci lui impose à nouveau de « suivre ensemble » un régime. Comment intervenir ?
Durant le confinement, difficile pour les familles de gérer les jeunes patients au domicile… Les soignants proposent à certains un suivi quotidien basé sur un emploi du temps très structuré.
Alors que l’hôpital de jour est fermé pour cause de covid-19, comment les patients vivent-ils le confinement ? Comment maintenir le lien avec des ados si vulnérables ?
Chaque semaine, le groupe poésie propose à de jeunes patients un travail très ludique autour des mots et de l’écriture. À chacun son style !
A l’hôpital de jour, le « groupe autonomie » propose aux jeunes patients d’aborder la puberté et la sexualité. Vaste programme !