La notion d’amour a longtemps été taboue dans la relation thérapeutique. À travers de nombreux exemples, l’auteur s’attache à démontrer qu’il en constitue à l’inverse le principe vivifiant. Seul l’amour désaliéné, sublimé, débarrassé de ses dimensions pulsionnelles et narcissiques et libéré de ses traits névrotiques (illusion, jalousie, possessivité…) permet d’établir une relation de confiance et assouplir les défenses du sujet, pour lui permettre d’accéder à sa souffrance et à ses modes relationnels pathologiques pour les transformer.
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