N° 285 - Février 2024
Aujourd’hui, la théorie de l’attachement est une approche incontournable en psychopathologie. Si le besoin vital d’attachement est très présent à la naissance, il reste actif …
Aujourd’hui, la théorie de l’attachement est une approche incontournable en psychopathologie. Si le besoin vital d’attachement est très présent à la naissance, il reste actif …
En se dégageant d’une vision déterministe, conceptualiser l’attachement comme une variable d’ajustement relationnel offre des perspectives différentes, beaucoup moins figées, sur le développement socio-affectif. Repères et évolutions théoriques.
La psychoéducation a parfois des effets inattendus : en proposant à l’usager de partager des connaissances sur sa maladie, elle peut le priver de son propre point de vue, au risque d’une « décohérence de l’esprit ». De nouvelles psychothérapies centrées sur l’expérience vécue peuvent éviter ce phénomène.
La psychoéducation a parfois des effets inattendus : en proposant à l’usager de partager des connaissances sur sa maladie, elle peut le priver de son propre point de vue, au risque d’une « décohérence de l’esprit ». De nouvelles psychothérapies centrées sur l’expérience vécue peuvent éviter ce phénomène.
Comment un adolescent ou un jeune adulte passe-t-il de l’enfermement « salutaire » à la claustration dans sa chambre ? Synonyme d’une souffrance et d’un tabou qui contaminent peu à peu toute la famille, la conduite hikikomori, gangue d’enfermement et/ou de protection, interroge la psychiatrie.
La recherche met en évidence des facteurs déterminants sur le plan psychopathologique et développemental dans les conduites de retrait pathologique de l’adolescent. Aspects cliniques et repères.
Un binôme psychologue infirmier propose à des patients souffrant de troubles borderline un atelier pour réguler leurs émotions et expérimenter une relation sécure à l’autre, dans une perspective de « réparer » leur modèle d’attachement.
L’individu ne peut vivre sans attache (famille, proches, travail, institutions…). Il doit pouvoir « compter sur » et « compter pour ». Lorsque les liens sociaux ne procurent pas protection et reconnaissance, des formes d’anxiété apparaissent.