Télépsychiatrie : le CH du Rouvray s’investit
Depuis une dizaine d’années, le Centre hospitalier du Rouvray a initié une offre de télépsychiatrie en gériatrie, permettant à l’équipe mobile pour personnes âgées d’étendre sa couverture territoriale.
Depuis une dizaine d’années, le Centre hospitalier du Rouvray a initié une offre de télépsychiatrie en gériatrie, permettant à l’équipe mobile pour personnes âgées d’étendre sa couverture territoriale.
Réalisée par une équipe mobile de Saint-Étienne, l’étude Planco-Iso évalue l’impact du Plan de crise conjoint sur le recours aux mesures d’isolement. Cette étude questionne également le rôle des infirmiers dans ce dispositif.
À Marseille, suite à l’effondrement de deux immeubles insalubres, l’équipe mobile « enfants et adolescents délogés » déploie une véritable clinique de l’adaptation. Comment créer des liens dans ces contextes de
grande vulnérabilité et de traumatisme ? Illustration avec la prise en charge de Sarah, 15 ans.
Dans le XXe arrondissement de Paris, une « Équipe dédiée de psychiatrie/Bailleurs sociaux » intervient auprès de locataires en souffrance psychosociale afin d’évaluer, d’accompagner et d’orienter au mieux ceux qui relèvent de soins spécialisés psychiatriques.
Louisette souffre de la maladie d’Alzheimer, et René, son mari, s’épuise pour qu’elle reste dans
leur maison. Une infirmière de psychogériatrie se rend régulièrement à leur domicile pour les soutenir et leur permettre de consentir à une entrée en EHPAD.
Une équipe mobile de soins intensifs accompagne pendant deux ans Karim, un jeune patient victime d’un premier épisode psychotique. Un suivi intensif, personnalisé, d’emblée ouvert sur le rétablissement
et l’autonomie du patient.
Une équipe mobile pour adolescents part à la rencontre de Gurvan, un adolescent en difficulté psychique repéré au collège. Une prise en charge de son entrée dans la psychose se déploie, de la « non-demande » de soin jusqu’à un suivi psychiatrique ambulatoire.
À Marseille, l’Unité locale d’intervention de crise et d’évaluation (Ulice) a été créée pour répondre à toutes les situations de crise. Flexible, créative, elle propose pendant deux mois une prise en charge intensive qui intègre les limites temporelles, spatiales et relationnelles.
L’intervention de crise apparaît comme la tentative de transformer une situation de détérioration et de souffrance en une occasion d’évolution positive. Elle doit donc être située du côté de la psychothérapie.
Au CMP de Guéret, une équipe de psychiatrie mobile a mis en place un atelier peu banal d’art-thérapie pour des patients demandeurs
d’asile et sans domicile fixe. Au fil des séances, des liens se tissent entre les participants, soutenant une renarcissisation.