À certains moments de détresse ou d’angoisse, le psychanalyste doit pouvoir s’exprimer sur ce qu’il ressent, dans une rencontre humaine, un partage d’une expérience personnelle. L’auteur revient sur l’apport de S. Ferenczi à la notion d’autodévoilement dans la cure et sur les actualisations de cette dimension aujourd’hui. Spécialisé dans la prise en charge des traumatismes psychiques, lui-même descendant d’une famille arménienne ayant survécu au génocide, il montre, au travers d’une histoire clinique, comment il peut parfois puiser des ressources dans sa propre histoire, avec certaines précautions éthiques.
Pour poursuivre votre lecture
Connectez-vous à votre compte si vous êtes déjà client.