Pack MECANISMES DE DEFENSE

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4 numéros consacrés aux mécanismes de défense pour 56 euros au lieu de 81 €.

N° 206
L'humour dans les soins

N° 235
Faire son deuil…

N° 240
Le déni

N° 267
Mensonge, mythomanie...

N° 267 - Avril 2022

Mensonge, mythomanie...

Mentir est inhérent à l’être humain. Ainsi, l’enfant ment à différents stades de son développement. Du point de vue psychopathologique, le mensonge prend une forme différente selon la structure clinique dans laquelle s’inscrit le sujet. Délire, mensonge, mythomanie, comment se repérer ? Plutôt que de condamner le sujet qui ment, le clinicien doit chercher quelle est la fonction de ce mensonge. Il faut alors l’envisager comme un champ de significations à investiguer.

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N° 240 - Septembre 2019

Le déni

Mécanisme de défense fréquemment rencontré en clinique psychiatrique, le déni est souvent invoqué : il compromettrait l'alliance thérapeutique, serait responsable de la non-observance et des rechutes… Déni de la maladie, déni de grossesse ou dans l'anorexie, déni de l'agresseur sexuel ou du meurtrier… Comment le soignant peut-il appréhender ce mécanisme ? Mensonge, dénégation, refoulement, clivage, comment se repérer ? Sans chercher à confronter le patient à une réalité dont il ne veut et ne peut rien savoir, le soignant doit s'attacher à envisager finement le contenu du déni et ses effets.

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N° 235 - Février 2019

Faire son deuil…

Après la mort d'un être cher, le processus de deuil entraîne un détachement progressif du lien affectif, à l'opposé de l'oubli. Si la plupart des personnes surmontent cette épreuve, des deuils compliqués peuvent survenir. Comment le soignant, lui-même confronté à ses propres deuils, peut-il apporter son soutien ? Comment les patients souffrant de psychose vivent-ils la perte d'un proche ? Qu'en est-il du deuil singulier des parents après la perte d'un bébé, ou de celui du jeune enfant après le décès d'un parent ? Dans une société où les rites mortuaires disparaissent, parler de la mort reste la meilleure façon de soutenir les personnes endeuillées.

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N° 206 - Mars 2016

L'humour dans les soins

Dans une situation de souffrance psychique, le soignant peut-il se risquer à l’humour sans mettre en péril l’alliance thérapeutique ? Quelles fonctions cette «forme d’esprit» joue-t-elle dans l’interaction avec le patient ? Si l’humour comporte des risques, il permet aussi de détendre l’atmosphère, de surprendre, de réinterpréter, de désamorcer des tensions et peut se révéler un précieux médiateur thérapeutique.

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