La relation de soin en psychiatrie convoque l’intime et le professionnel. Elle peut sembler « aller de soi », mais aussi devenir inquiétante, voire imprévisible et ingérable. Le soignant peut être pris « à son corps défendant » dans un lien de proximité ou/et de rejet qui le déborde et l’intruse au point d’en perdre sa « boussole professionnelle ». Quels moyens le groupe-équipe et l’institution mettent-ils à disposition pour garantir l’émergence d’un processus de soin où chaque sujet et l’ensemble joueraient leur partition ?
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