Isolement-contention : des délais de transmission des documents portés à 10 heures ?
D’après une nouvelle mouture du projet de décret sur l’isolement et la contention en psychiatrie, les contraintes de la procédure s’allégeraient un peu pour les …
D’après une nouvelle mouture du projet de décret sur l’isolement et la contention en psychiatrie, les contraintes de la procédure s’allégeraient un peu pour les …
Les directives anticipées posent la question de la permanence de l’identité (qui agit dans le moment de la rédaction ?) et imposent aux soignants de s’assurer, qu’au-delà des préférences d’une personne « incapable », toute décision se fera en fonction de ses valeurs.
L’échec n’est pas seulement un accident regrettable, il peut être aussi un événement soutenu, approfondi, voire
intentionnellement provoqué. Mais pourquoi se mettre soi-même en échec? Et si cette conduite est maladive, comment pourrait-elle être soignée?
Une revue de la littérature propose un tour d’horizon des recherches effectuées notamment aux États-Unis et en Europe, pour évaluer les méthodes ou stratégies qui peuvent restreindre les mesures coercitives en psychiatrie.
Bannir l’isolement et la contention en psychiatrie nécessite une organisation des soins adaptés, des professionnels
bien formés et disponibles, et une architecture bien pensée, comme le montre la prise en charge de Monsieur Y. L’équipe,
engagée dans une pratique orientée rétablissement, s’appuie sur une philosophie du soin qui considère que les usagers doivent subir le moins de restrictions possible.
Comment répondre à la demande de suicide assisté d’une personne âgée ? Délicate question qui suggère
aux soignants et à l’institution de développer une réelle clinique du trépas.
Le concept de capabilité, proposé par Paul Ricoeur, met au premier plan la capacité d’action de chacun. Le soin permettrait ainsi de proposer au patient une aide pour qu’il retrouve une puissance d’agir peut-être altérée par la souffrance mais jamais anéantie.
En négociant les soins proposés, voire en les refusant, le patient questionne le désir soignant, cette énigme à vouloir du bien à quelqu’un qui parfois n’en veut pas… Réflexions pour une éthique de la négociation.
La négociation du soin signe peut-être la fin d’une relation ineffable entre le médecin et le patient, qui fondait une conception de l’autonomie professionnelle.
Plus de treize ans après sa création, le dispositif légal de la personne de confiance n’a toujours pas pleinement trouvé sa place dans bon nombre d’établissements de santé mentale, particulièrement pour les patients faisant l’objet de soins sans consentement.