MonParcoursPsy : 9 psychologues sur 10 disent non au dispositif
Un an après le lancement de MonParcoursPsy, le Syndicat National des Psychologues (SNP) qui milite « pour une prise en charge adaptée pour l’ensemble de la …
Un an après le lancement de MonParcoursPsy, le Syndicat National des Psychologues (SNP) qui milite « pour une prise en charge adaptée pour l’ensemble de la …
La névrose d’échec, aussi pauvre que soit la littérature psychiatrique à son sujet, correspond à des situations réelles où s’exprime la complicité possible entre la répétition des échecs et la personnalité du patient. Repères théoriques et cliniques.
L’échec n’est pas seulement un accident regrettable, il peut être aussi un événement soutenu, approfondi, voire
intentionnellement provoqué. Mais pourquoi se mettre soi-même en échec? Et si cette conduite est maladive, comment pourrait-elle être soignée?
Examiner finement les situations de blocage ou de ratage du processus thérapeutique en psychiatrie permet d’en repérer différents facteurs, liés au patient et/ou aux soignants, et d’en proposer une typologie
La répétition automatique de « scénarios de vie » amène à aborder les conduites d’échec sous l’angle des schémas cognitifs précoces inadaptés, que la thérapie cognitive peut aider à comprendre et modifier.
Face à des conduites d’échec, l’approche interactionnelle et stratégique se focalise sur le comportement du patient et ses tentatives de solution. Différentes expériences peuvent lui être proposées pour sortir de sa logique.
L’épuisement professionnel se caractérise par la survenue de trois phases : l’épuisement émotionnel, la déshumanisation de la relation à l’autre et le sentiment d’échec professionnel. Histoire du concept et principales caractéristiques.