La recherche usagère : l’expérience au service de la construction de la connaissance
Reconnue aujourd’hui pour sa validité et sa valeur ajoutée, la recherche usagère attire l’attention d’une certaine partie de la recherche conventionnelle et de ceux qui la financent. On assiste ainsi à un déplacement des paradigmes socioculturels…
L’adolescent et les scarifications : un « acte de passage » ?
Quand le sang d’Arthur coule, « ça soulage que ça sorte ». À ce stade, comment lui permettre d’exprimer des ressentis négatifs sans s’automutiler, comment l’aider à interpeller autrui d’une autre manière ?
Cadeaux empoisonnés
« Je me suis coupée, regarde ! », Corinne interpelle les soignants par sa violence, ses comportements autodestructeurs et ses conduites d’échecs…
L’apotemnophilie : un destin social et personnel
Afin de (re)trouver une identité réelle, de corriger ce qui est perçu comme une anomalie, certains sujets mettent en oeuvre l’amputation volontaire et délibérée d’un de leurs membres.
Le premier épisode d’automutilation
Pourquoi y a-t-il un avant et un après le premier épisode d’automutilation ? Pourquoi quelqu’un prend-il la décision de s’automutiler? Quelle est la différence entre le premier épisode et les suivants ? Autant de questions qui servent de préalable à un début de compréhension de l’automutilation.
Comme le nez au milieu de la figure?
Si l‘automutilation continue de « résister» à la psychiatrie moderne c’est peut-être parce que la recherche médicale ne laisse aucune place à d’autres sources de construction de la connaissance…
Comprendre l’autoblessure répétitive?
Pourquoi une personne éprouve-t-elle le besoin d’endommager sa peau, encore et encore ?
Considérations psychanalytiques à propos des automutilations
L’extrême diversité des conduites automutilatoires permet de ne pas les réduire à de simples poussées de fureur autodestructrices et de considérer en quoi elles décrivent une possible nouvelle articulation entre corps, espace temps et autrui.
L’automutilation comme un processus
L’automutilation ne commence, ni ne finit, avec la blessure. Elle n’est pas une conduite uniforme se limitant à l’acte mais résulte d’une succession d’étapes de durée et d’intensités variables.