Burn-out. Ça, c’est un mot d’aujourd’hui. Vous savez, comme harcèlement, pervers narcissique, bipolaire, radicalisation, charge mentale, … Il y eut d’abord le burn-out professionnel (1), du genre quand le travail vous tue ou au moins vous épuise. Il y eut le burnout amoureux (2), quand votre partenaire commence à vous gaver sérieusement et que ça craint la rupture. Il y a aujourd’hui le burn-out parental (3), quand, accablés, coupables, vous n’y arrivez plus avec vos « niards ». Soyons précis, il faudrait plutôt évoquer le burn-out maternel (4), qui concerne surtout l’épuisement des mères. Et puis il y a le burn-out des enfants (5), qui eux aussi sont en nervous breakdown, abattus nerveusement et craquent ou menacent de « péter les plombs ».
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