Les idées délirantes peuvent être conçues comme un symptôme non-spécifique ou comme ayant un lien avec les entités diagnostiques et se situent à mi-chemin entre les deux positions. Il serait utile toutefois de développer de nouvelles définitions plus proches de la réalité clinique. Dans la pratique des soins, les idées délirantes constituent un problème quand elles conduisent à des conséquences fonctionnelles ou à de la souffrance pour les patients. Les résultats des recherches montrent que l’entraînement métacognitif ou les thérapies cognitives et comportementales des psychoses sont des interventions non pharmacologiques précieuses pour réduire les idées délirantes en milieu clinique pour les patients atteints de schizophrénie ou de troubles délirants.
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