Les liens privilégiés entre psychisme et peau reposent sur des arguments embryologiques, anatomiques, biologiques, phénoménologiques, psychanalytiques et cliniques. Les troubles psychodermatologiques sont différenciés en trois registres : les troubles psychiques secondaires aux dermatoses (dépression, anxiété), les troubles psychiatriques à expression cutanée (délire d’Ekbom, dysmorphophobies, stomato et vulvodynies, prurit psychogène, troubles factices, excoriations, trichotillomanie) et les dermatoses influencées par des facteurs psychiques.
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