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Si les textes français ne sont pas extrêmement clairs sur la question du refus de prendre un neuroleptique – les soins se confondant souvent avec l’hospitalisation – il n’en va pas de même en Suisse. Un arrêt du tribunal administratif de la république et du canton de Genève, en date du 7 mars 1995, énonce que la volonté d’une plaignante de ne recevoir à l’avenir aucun neuroleptique devra être respectée par les Institutions universitaires de psychiatrie de Genève (IUPG) ; même si cette patiente était jugée ultérieurement incapable de discernement.
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