Le HHC interdit en France
L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) classe l’hexahydrocannabinol (HHC) et deux de ses dérivés sur la liste des produits …
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Première édition de la Journée nationale de la section NeuroPsychoPharmacologie (Npp) de l’Association Française de Psychiatrie Biologique et de Neuropsychopharmacologie (AFPBN) Le Suivi Thérapeutique Pharmacologique …
Parution dans Socio-anthropologie d’un article en libre accès sur le suicide des adolescents par ingestion de psychotropes Résumé/ Les tentatives de suicide ont rarement été …
L’objectif du traitement par antipsychotique est de réduire les symptômes à l’origine d’une souffrance pour le patient, mais aussi d’améliorer sa qualité de vie et son insertion, tout en limitant les effets secondaires potentiellement négatifs. Principes de prescription et effets secondaires.
Les patients atteints de schizophrénie souffrent souvent d’une très mauvaise santé buccodentaire. L’auto-questionnaire SCOOHP (Schizophrenia Coping Oral Health Profil) propose d’explorer leurs stratégies d’adaptation, positives et négatives, pour mieux les accompagner.
Comment soigner les patients souffrant de schizophrénie et d’addiction au cannabis ? L’« idéal » reste les prises en charge intégrées, qui tiennent compte simultanément des deux pathologies et de leurs interactions. Repères pour engager des soins pertinents.
Chez les patients schizophrènes âgés, la prescription de psychotropes au long cours implique de tenir compte de nombreux facteurs cliniques, auxquels s’ajoutent trois dimensions importantes : quelle dose, quelle durée et quelle molécule ?
Dans la schizophrénie, les antipsychotiques permettent la rémission des symptômes positifs et la prévention des rechutes, non sans effets secondaires. Des règles de prescription s’imposent pour ces molécules comme pour les benzodiazépines et les anticholinergiques, afin de ne pas altérer davantage le fonctionnement social.
Le changement d’image des traitements à action prolongée devrait être favorisé par un travail collectif, permettant ainsi une élaboration des gestes quotidiens, marqués par le déni psychotique.
Que sait la personne psychotique à propos de son traitement à action prolongée ? L’éducation thérapeutique
du patient lui propose un espace pour ses questions et ses doutes, pour visualiser le soin, entendre ses pairs et
cheminer avec eux.