N° 232 - Novembre 2018

Patients schizophrènes âgés et psychotropes

Auteur(s) : Hervé JAVELOT, Président des associations Phamacopsy Alsace et de la Société francophone, Claire POLLET, Présidente du Réseau PICNbre de pages : 8
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Chez les patients schizophrènes âgés, la prescription de psychotropes au long cours implique de tenir compte de nombreux facteurs cliniques, auxquels s’ajoutent trois dimensions importantes : quelle dose, quelle durée et quelle molécule ?

L’usage des psychotropes chez les patients schizophrènes âgés implique de s’intéresser à deux grandes dimensions. La première concerne la définition même de la population sur laquelle il convient de s’interroger : entre vieillissement des patients à début précoce de la maladie et ceux identifiés comme ayant un début tardif ou très tardif. Une seconde s’ingénie à envisager les psychotropes pouvant présenter une pertinence dans les populations prédéfinies. Nous nous attarderons ici sur l’usage des benzodiazépines, des antidépresseurs et bien sûr l’utilisation des antipsychotiques chez les patients schizophrènes dits « âgés », mais aussi  « gériatriques ».

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