Christine Muller : « La lumière est partout »
Née en 1956 à Douai, Christine Muller est peintre et illustratrice. Son univers à la fois doux et nostalgique, tendre et douloureux, invite au retour …
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Lieu d’écoute et de prévention itinérant, un camping-car sillonne les Ardennes à la rencontre des jeunes en souffrance. À son bord, des « accueillants » sont à …
A Pont-Audemer, patients et soignants du CATTP ont participé à une course de voitures à pédales organisée par la mairie. En 2023, les patients du …
En se dégageant d’une vision déterministe, conceptualiser l’attachement comme une variable d’ajustement relationnel offre des perspectives différentes, beaucoup moins figées, sur le développement socio-affectif. Repères et évolutions théoriques.
Les traumatismes relationnels précoces laissent des empreintes indélébiles dans le développement affectif de l’individu, mais l’approche des modèles d’attachements multiples ouvre des perspectives en termes d’expériences correctrices.
Les neurosciences affectives et sociales permettent d’appréhender les bases cérébrales de l’attachement et de l’intersubjectivité parentale. Cette approche peut déboucher sur des interventions adaptées, guidées par des modèles neurocognitifs.
La recherche montre que les mères qui ont une relation d’attachement insécure à leur conjoint sont plus à risque de développer une dépression périnatale et de présenter des difficultés de régulation émotionnelle.
Marie, une jeune mère de 27 ans, souffre de dépression post-partum. Elle ne sent pas soutenue par son conjoint et juge sa mère trop intrusive. Grâce à l’entretien d’attachements multiples (AMMI), qui propose d’explorer les liens passés et actuels, elle amorce un processus thérapeutique en identifiant ses schémas relationnels et ses besoins.
Chez l’âgé, lorsque les performances s’amenuisent et que des troubles cognitifs ou une maladie neurodégénérative s’installent, le besoin de rester lié s’intensifie. Comment comprendre et répondre à ses demandes d’interactions tardives ?
À 27 ans, Léa reste dépendante des autres sur le plan affectif. Par peur de l’abandon et du jugement, elle a tendance à taire ses émotions et ses désirs. Une thérapie des schémas, centrée sur ses besoins psychologiques fondamentaux, aide son moi « adulte » à sécuriser la « petite Léa ».