Nous présentons ici les résultats de deux recherches sur les représentations et la place réelle de l’activité physique (AP) et du sport en psychiatrie et pédopsychiatrie. Plusieurs constats nous ont conduits à cette démarche.
• Depuis plusieurs années, en France, la pratique de l’activité physique (AP) est soutenue par les médecins, et des projets « sport-santé » se développent dans le cadre de politiques de santé publique (1). Des recommandations et décrets (2, 3) permettent de prescrire de l’AP dans les maladies chroniques (4), dont les troubles psychiques, avec une mise en avant de l’activité physique adaptée (APA) (5) (voir aussi l’article de C. Fayollet, p. 22). Les services de cardiologie et d’oncologie notamment développent des programmes de soins non médicamenteux incluant l’APA (6, 7).
Pour poursuivre votre lecture
Connectez-vous à votre compte si vous êtes déjà client.