Les hospitaliers peu enclins à recommander leur emploi à un proche
Les agents de la fonction publique ont été consultés dans le cadre du programme Fonction publique + (FP+), un programme de transformation des modes et …
Les agents de la fonction publique ont été consultés dans le cadre du programme Fonction publique + (FP+), un programme de transformation des modes et …
Dans le cadre de la préparation de la recommandation de bonnes pratiques organisationnelles entre les services de pédopsychiatrie et ceux de la protection de l’enfance, …
Une récente enquête* menée par l’Institut IFOP et la MNH le révèle, l’ensemble des professionnel hospitaliers déclare « se sentir une responsabilité particulière envers leurs proches …
Les problèmes de santé physique des personnes souffrant de troubles psychiques restent mal détectés et suivis. Plutôt que de tenter d’organiser des soins somatiques dans leurs services, les professionnels de la santé mentale doivent collaborer davantage avec le système existant et soutenir l’accès des usagers aux soins primaires.
Les anxiolytiques sont les psychotropes les plus prescrits en cas de retentissements importants des symptômes anxieux. Cette prescription répond à des règles strictes et vient en complément d’une psychothérapie.
Association militante, le Cercle de réflexion et de propositions sur la psychiatrie (CRPA) défend les droits des personnes hospitalisées sans consentement. Elle dénonce le fait qu’il suffit aux soignants d’affirmer avoir utilisé l’isolement et la contention « en dernier recours » pour que cette donnée soit crédible.
Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL), qui a visité depuis 2008 la moitié des établissements de psychiatrie, dénonce de nombreux dysfonctionnements en matière d’isolement et de contention et formule des propositions concrètes pour faire évoluer les pratiques.
Une enquête sur l’accompagnement au logement proposé aux usagers de la psychiatrie pointe des différences majeures de représentations entre les patients, les soignants et les partenaires sociaux. Des constats qui ont permis de faire évoluer les pratiques.
Dans l’agitation aiguë, le traitement médicamenteux est un recours important. Toutefois, il n’existe pas réellement de consensus sur les conduites à tenir, mais la pratique permet de proposer des repères en fonction des situations.