Deuil n’est pas mélancolie
Pour le sujet névrosé, le deuil entraîne une douleur profonde mais l’objet se maintient, au moins au niveau du fantasme. Chez les sujets psychotiques, faute d’objet, la perte peut engendrer un délire mélancolique. retour sur la différenciation établie par Freud.