Clinique L’Escale Saint-Victoret recrute un Infirmier en Psychiatrie H/F
Notre groupe ORPEA CLINEA est une filiale du groupe ORPEA.Les cliniques Psychiatriques CLINEA proposent une offre de soins diversifiée dans le domaine de la Santé …
Notre groupe ORPEA CLINEA est une filiale du groupe ORPEA.Les cliniques Psychiatriques CLINEA proposent une offre de soins diversifiée dans le domaine de la Santé …
EN LIGNE 23e Colloque de la revue transculturelle L’autre L’étranger migrant est pris dans les discours politiques et médiatiques jusqu’à faire disparaître sa dimension subjective. …
La prise en charge psychothérapique des patients ayant déjà fait plusieurs tentatives de suicide est très éprouvante. Obsédés par le désir ou le geste suicidaire, ils sont entraînés psychiquement dans une profondeur abyssale. Repères cliniques.
Les impératifs de gestion contemporaine des soins doivent inclure les mouvements psychiques et émotionnels des patients et des équipes. Dans ce contexte, le fonctionnement institutionnel doit favoriser les interactions entre clinique et théorie et entre dispositif de soin et management.
Les thérapies cognitives et comportementales des symptômes psychotiques (TCCp) travaillent directement sur les croyances délirantes, en les remettant en question ainsi que les preuves qui les sous-tendent.
À l’hôpital, pour concilier leur engagement clinique avec la pression gestionnaire, les infirmières « rusent ». Mais elles finissent souvent par perdre le sens de leur travail, ce qui les conduit à une souffrance. Lorsque l’usure émerge, elle doit être entendue comme un fait individuel mais surtout collectif.
En pratique clinique, il peut être aussi difficile qu’inutile d’établir une limite rigide entre paranoïa et schizophrénie. Chaque situation est singulière, mais l’expérience permet d’anticiper certaines questions.
Comprendre les rouages de la pensée du sujet paranoïaque permet d’éviter de s’enliser dans un face-à-face stérile. Ainsi, vouloir « prouver » au patient qu’il délire en le confrontant à la réalité est aussi improductif que dangereux pour la relation de soin.
La plainte somatique reste insuffisamment considérée en psychiatrie. Si elle peut renseigner sur le trouble psychique et être alors envisagée comme le médiateur de la rencontre soignant soigné, elle évoque également des pathologies somatiques. Le soignant doit donc rester à l’écoute de l’expression du patient.
Dans la psychose, l’âge amène des modifications de l’expression clinique, tout en conservant « le noyau dur » des pathologies. À domicile, en milieu psychiatrique ou en Ehpad, les soignants doivent ajuster leurs réponses à ces spécificités cliniques.