Approche psychosomatique en dermatologie
En dermatologie, l’approche psychosomatique consiste à replacer la maladie dans la vie de la personne. Illustrations avec des patients souffrant de psoriasis, de pelade, de glossodynie…
En dermatologie, l’approche psychosomatique consiste à replacer la maladie dans la vie de la personne. Illustrations avec des patients souffrant de psoriasis, de pelade, de glossodynie…
Une recherche montre que des pratiques groupales de relaxation peuvent améliorer la qualité de vie des patients douloureux chroniques, en favorisant des réaménagements somatopsychiques, une prise d’autonomie et une resocialisation.
La maladie cancéreuse et ses traitements induisent une réelle crise existentielle qui risque de se transformer en impasse. Une démarche psychothérapeutique psychosomatique permet d’articuler l’histoire actuelle et passée du sujet. Illustrations cliniques.
Psychosomatique et psychomotricité entretiennent des rapports étroits, comme le montre la prise en charge de Yacine, 15 ans, qui souffre de bégaiement. Un travail de relaxation psychosomatique lui permet d’explorer ses éprouvés corporels et de renouer avec son imaginaire.
Edgar, 7 ans, est adressé au CMP pour des troubles du comportement. Au fil d’entretiens individuels
et grâce au jeu, une problématique de dévoration émerge. La rencontre avec le clinicien opère et le petit garçon se tranquillise.
Travailleur consciencieux, M. Gérard perd pied lorsque le management de son entreprise lui impose des méthodes « rationnelles » qui le privent de sa façon singulière de travailler et de ses valeurs. Cette perte et la détresse qui en découle concernent la psychanalyse.
Une équipe de réhabilitation psychosociale a créé un outil d’évaluation original basé sur le concept d’empowerment, le Plan d’organisation de projet(s) ou POP(s), qui structure le parcours de rétablissement. Il permet à la personne de choisir les domaines qu’elle souhaite travailler, de se fixer les buts à atteindre et de déterminer les moyens d’y parvenir.
Un atelier d’écriture en hôpital de jour gériatrique vient non seulement stimuler les fonctions
cognitives défaillantes des personnes âgées mais aussi restaurer leur confiance en elles et leur créativité.
Si les psychiatres se déclarent spontanément favorables à la décision médicale partagée, dans la réalité, les pratiques restent très hétérogènes. Parfois, les praticiens usent de critères discriminatoires pour l’envisager ou non, ils explorent peu les souhaits des patients ou se réfugient derrière leur « manque d’insight ».
C’est par la relation éducative en santé que la négociation soignant-soigné naît, se construit et vit. Dans cette relation, le patient a besoin du soignant pour décider, choisir et transformer le message, qu’il peut alors s’approprier pour en faire un projet dans son quotidien.