Déposer l’histoire familiale
Située au sein d’un CHS, une unité de thérapie familiale propose, après quelques entretiens préliminaires et selon le contexte, des consultations familiales ou une thérapie familiale psychanalytique.
Située au sein d’un CHS, une unité de thérapie familiale propose, après quelques entretiens préliminaires et selon le contexte, des consultations familiales ou une thérapie familiale psychanalytique.
Avec Éléonore, accueillie à l’hôpital de jour, l’équipe soignante
est dans une impasse. Des entretiens familiaux permettent
d’évoquer des souffrances non élaborées et d’explorer les
étranges « rires immotivés » de la jeune femme.
Par son caractère précoce, bref et individualisé, le dispositif Ensemble offre un soutien aux proches, en fonction de leurs difficultés, besoins, émotions et ressources.
Une équipe soignante a mis en place un dispositif d’intervention précoce baptisée « Vécu tiers psy » conçue pour soutenir les proches assumant le rôle de tiers lors de premiers soins sans consentement aux urgences psychiatriques.
Outil de l’approche systémique, le génogramme est une représentation graphique de la famille qui intègre ses composantes, son histoire, ses relations intra voire extra-familiales, le plus souvent sur trois générations. Repères théoriques et éclairage clinique.
Déni et clivage sont la potion amère et le pain quotidien des soignants qui prennent en charge des patients états-limites ou psychotiques. Il faut engager un effort de compréhension clinique globale pour tenter de se représenter à quoi échappent ces patients qui écartent la réalité.
En psychiatrie, on peut adopter différentes stratégies pour proposer de l’éducation thérapeutique à un patient dans le déni. Au préalable, le soignant devra explorer finement le contenu et le degré de ce déni.
De manière constante, une personne anorexique est dans le déni de son apparence, de son comportement alimentaire, de son besoin de nourriture et de sa souffrance émotionnelle. Le soignant doit tenter de la rejoindre dans ses paradoxes, mais sans devenir complice.
Le déni de grossesse est un trouble de la gestation psychique, dont l’enjeu constant est de nier la grossesse et la présence de l’enfant. Ce processus extrêmement actif se situe dans l’inconscient. Repères théoriques et cliniques.
« Je ne suis pas coupable ! » La plupart du temps, les détenus auteurs de violences sexuelles nient leurs actes. Pour installer une alliance thérapeutique, le clinicien doit déployer différentes stratégies et exploiter le déni non comme un frein, mais comme un repère et un outil.