Malgré la diversité des contextes cliniques associés aux conduites de retrait pathologique à l’adolescence, il existe des facteurs déterminants communs sur le plan psychopathologique et développemental. Les mécanismes d’auto-entretien de l’enfermement, les modalités de réaction de l’entourage et l’association d’un trouble psychiatrique catégoriel sont déterminants dans l’évolution des conduites de retrait. Faire cesser ce repli représente la seule possibilité pour permettre une amélioration clinique.
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