Cette synthèse parue sur le site Minerva (Revue d’Evidence-Based Medicine) montre que les neuroleptiques administrés pour des troubles du comportement chez les personnes âgées atteintes de démence peuvent être arrêtés dans la plupart des cas sans inconvénient majeur. Pour certains patients cependant (avec agitation importante, psychose…), la poursuite du traitement peut être favorable. Il convient donc de mettre en balance les avantages et les inconvénients possibles au cas par cas.
- Consultation sur www.minerva-ebm.be, rubrique Analyses en ligne, 5 mai 2014