Changer le concept de schizophrénie : prochain webinaire à venir !
Après le premier webinaire d’une série de trois, organisé le 12 mars dernier, donnant la parole à Hervé Guillemain, Professeur d’histoire contemporaine à l’Université du …
Après le premier webinaire d’une série de trois, organisé le 12 mars dernier, donnant la parole à Hervé Guillemain, Professeur d’histoire contemporaine à l’Université du …
Dans une newsletter datée du 13 avril 2021, le Groupe de coordination sanitaire (GCS) communique sur le projet « CLASSMED », qui traite de l’opportunité …
Face à la violence et aux nombreux passages à l’acte hétéro-agressifs de Stéphane, un patient schizophrène hospitalisé au long cours en chambre d’isolement, l’équipe est dans une impasse thérapeutique. Au cours de séances de cynothérapie, seule une petite chienne nommée Evie parvient à « réhumaniser » ce patient.
L’objectif du traitement par antipsychotique est de réduire les symptômes à l’origine d’une souffrance pour le patient, mais aussi d’améliorer sa qualité de vie et son insertion, tout en limitant les effets secondaires potentiellement négatifs. Principes de prescription et effets secondaires.
Pratique psychothérapeutique inattendue, une activité de plongée sous-marine permet à des patients souffrant de schizophrénie de renouer avec leur corps. Illustration avec Yves, la cinquantaine, qui trouve un étayage puissant dans cet accompagnement.
En pratique clinique, il peut être aussi difficile qu’inutile d’établir une limite rigide entre paranoïa et schizophrénie. Chaque situation est singulière, mais l’expérience permet d’anticiper certaines questions.
Une recherche exploratoire montre que la relation fraternelle est affectée de façon bien spécifique par la psychose. Un travail qui permet de dégager des axes de prises en charge des frères et soeurs du patient.
Les patients atteints de schizophrénie souffrent souvent d’une très mauvaise santé buccodentaire. L’auto-questionnaire SCOOHP (Schizophrenia Coping Oral Health Profil) propose d’explorer leurs stratégies d’adaptation, positives et négatives, pour mieux les accompagner.
Face aux problèmes de surpoids et d’obésité de jeunes patients souffrant de schizophrénie débutante, une prise en charge groupale originale bio-psycho-sensorielle a été mise en place. Objectif principal : lutter contre la dérégulation du comportement alimentaire.
Plus d’un quart des patients souffrant de schizophrénie consomment du cannabis, ce qui grève considérablement
leur pronostic fonctionnel et clinique. L’intrication de ces deux pathologies nécessite des prises en charge complexes. État des lieux et perspectives.