à l’hôpital, un groupe de relaxation psychanalytique Sapir témoigne des effets de résonnance et d’identification entre les participantes, ce qui permet d’abaisser le niveau des résistances. Ce travail en groupe est ainsi un facteur d’appropriation et de différenciation.
La sophrologie est une méthode de relaxation qui se déploie à partir d’un état de conscience modifié. En psychiatrie, elle est particulièrement indiquée pour soulager le stress, l’anxiété ou encore la dépression. Illustration avec Alice, la quarantaine, qui souffre d’épuisement professionnel.
Chaque mois, le réseau documentaire en santé mentale, Ascodocpsy, propose des éléments de bibliographie en lien avec le thème du dossier : La relaxation, entre détente et thérapie.
La relaxation fait référence à des méthodes qui reposent sur des éléments théoriques et techniques différents. Elles utilisent des procédés variés (suggestion, respiration, focalisation de …
« Je ne pensais pas être capable de tout ça ! » Régulièrement suivies au CATTP, Fayrouz, Allia, Nour et Yvette participent chaque semaine à des ateliers de psychomotricité. Ces activités leur permettent petit à petit de réinvestir leur corps et de gagner en confiance. Retour d’expérience après un an de pratique.
Une recherche montre que des pratiques groupales de relaxation peuvent améliorer la qualité de vie des patients douloureux chroniques, en favorisant des réaménagements somatopsychiques, une prise d’autonomie et une resocialisation.
À travers deux situations cliniques, marquées l’une par la richesse de l’imaginaire et l’autre à l’inverse dépourvue de potentialité imaginative, l’auteur détaille le travail thérapeutique mené en relaxation psychosomatique.
Le Programme émotions positives pour la schizophrénie (PEPS) cherche à améliorer la motivation et le plaisir des patients souffrant de schizophrénie. Chaque séance débute par des temps de méditation et de relaxation pour faciliter l’acquisition des compétences.
Les troubles du sommeil, et en particulier l’insomnie, répondent bien aux prises en charge non médicamenteuses. Elles permettent de prévenir la chronicisation en phase aiguë et de réduire la dépendance aux psychotropes.
Plusieurs numéros autour d’un thème à prix préférentiel
N° 150 Adolescence et addictions
N° 192 Alcool : abstinence et/ou réduction?
N° 196 L'addiction sexuelle
N° 295 Addiction numérique ?
N° 262 Activités physiques en psychiatrie
N° 274 Agitation : comment s'adresser au corps ?
N° 282 La relaxation, entre détente et thérapie
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