Atelier vidéo : « le camping des tongs »
Accueilli au Centre d’évaluation de soins ambulatoire et de réhabilitation (C.E.S.A.R.), Hugo, qui souffre de troubles psychiatriques sévères, a participé à l’atelier vidéo. Au fil …
Accueilli au Centre d’évaluation de soins ambulatoire et de réhabilitation (C.E.S.A.R.), Hugo, qui souffre de troubles psychiatriques sévères, a participé à l’atelier vidéo. Au fil …
Si la confrontation au suicide d’un patient constitue un évènement particulièrement déstabilisant au cours de l’internat en psychiatrie, il s’avère possible de le transformer en une expérience formatrice, à la condition d’un accompagnement institutionnel et pédagogique à la hauteur des effets qu’il induit chez ces jeunes praticiens.
Tout en subtilité, Lizette, une jeune chatte, imprime sa patte sur l’ambiance d’une unité d’hospitalisation sans consentement, où elle réside. Après cinq ans, retour d’expérience sur le projet Cat’s, chat d’accompagnement thérapeutique.
À l’hôpital, pour concilier leur engagement clinique avec la pression gestionnaire, les infirmières « rusent ». Mais elles finissent souvent par perdre le sens de leur travail, ce qui les conduit à une souffrance. Lorsque l’usure émerge, elle doit être entendue comme un fait individuel mais surtout collectif.
Les soignants sont parfois confrontés à la présence de cannabis ou d’autres produits stupéfiants illicites au sein même de l’hôpital. Les établissements doivent alors s’appuyer sur le cadre législatif pour garantir à la fois soins et sécurité.
La semaine d’investigation et de crise est un programme de soins hospitaliers structuré autour d’entretiens entre un usager et un binôme de référents infirmier et médecin. C’est la co-construction d’un récit à plusieurs qui soigne, en proposant au patient une «prothèse d’intime».
Inadapté aux exigences sanitaires et hôtelières, le vieux pavillon de psychiatrie va être détruit. Mais perdre les murs, c’est aussi perdre une vie de liens quasi familiaux et un peu d’âme… Un projet photographique vise à garder vivante la mémoire du lieu.
Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL), qui a visité depuis 2008 la moitié des établissements de psychiatrie, dénonce de nombreux dysfonctionnements en matière d’isolement et de contention et formule des propositions concrètes pour faire évoluer les pratiques.
Après l’apparition brutale de troubles du comportement, Baptiste, 19 ans, est hospitalisé sous contrainte. Entre peur, mutisme et symptômes, un infirmier installe une relation de confiance et accompagne ce patient dans l’entrée dans la schizophrénie.
Des soignants proposent un atelier d’art-thérapie basé sur le jeu clownesque à des patients souffrant de schizophrénie. Parallèlement, une recherche clinique évalue ses bénéfices, en particulier au regard de l’alliance thérapeutique et des comportements agressifs.