Droits des usagers : « QualityRights redonne du sens à ma pratique »
Du côté des soignants, l’expérience d’« observateur QualityRights » via des immersions sur le terrain permet d’entrevoir d’autres façons de travailler et de découvrir des …
Du côté des soignants, l’expérience d’« observateur QualityRights » via des immersions sur le terrain permet d’entrevoir d’autres façons de travailler et de découvrir des …
Les 5 et 6 octobre 2021, le ministre des Solidarités et de la Santé, Olivier Véran, et le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, …
Les bases légales de la télémédecine ont été posées depuis une dizaine d’années, mais son déploiement a longtemps été laborieux. Le crise sanitaire liée à la covid-19 lui donne un coup d’accélérateur, parfois au prix de principes fondamentaux de sécurité et de droits du patient.
Instrument juridique non contraignant, les directives anticipées en psychiatrie ont une portée indicative pour le médecin, qui doit en prendre connaissance mais reste néanmoins libre d’apprécier les orientations définies.
Les directives anticipées psychiatriques constituent une piste prometteuse pour engager une relation partenariale dans les soins, en urgence comme en soins courants. À qui s’adressent-elles ? Que contiennent-elles ? Quels sont leurs effets ? Repères théoriques.
Pour l’entourage familial, le logement d’un proche reste une lourde charge mentale et financière. L’Union nationale des amis et familles de personnes malades et/ou handicapées psychiques (Unafam) réclame un plan d’actions avec une palette de réponses adaptées et regrette le manque d’engagement des soignants sur ces questions.
Pour consentir à un traitement, il faut d’abord admettre la maladie et accepter le besoin de soin. En matière d’éducation
thérapeutique du patient, la loi requiert un consentement écrit du patient ou de ses représentants légaux.
Association militante, le Cercle de réflexion et de propositions sur la psychiatrie (CRPA) défend les droits des personnes hospitalisées sans consentement. Elle dénonce le fait qu’il suffit aux soignants d’affirmer avoir utilisé l’isolement et la contention « en dernier recours » pour que cette donnée soit crédible.
L’expérience subjective du patient a transformé son rôle politique dans la médecine et notamment en psychiatrie, jusqu’à lui conférer une forme d’expertise professionnelle. Un mouvement qui a des conséquences parfois paradoxales.
L’expérience subjective de la souffrance psychique génère un savoir acquis sur la route de l’éprouvé. Ce parcours peut conduire une personne à inventer des modalités d’être pour exister au monde et y apporter quelque chose d’inédit.