Le cri d’alarme de la Conférence des Présidents de CME de Rhône-Alpes-Auvergne
La Conférence des Présidents de CME de Rhône-Alpes-Auvergne réunie le 12/10/21 alerte les tutelles quant à la crise actuelle et au démantèlement progressif de la …
La Conférence des Présidents de CME de Rhône-Alpes-Auvergne réunie le 12/10/21 alerte les tutelles quant à la crise actuelle et au démantèlement progressif de la …
Il n’existe pas actuellement en France de risques d’une « crise des opioïdes » comparable à celle qui a cours en Amérique du Nord. Néanmoins, …
Plusieurs hospitalisations en UMD, un comportement violent, des passages à l’acte récurrents… À 23 ans, Lucas est un patient qui fait peur. Pour ne pas s’enfermer dans le piège de la répression et de la soumission, les soignants s’interrogent sur leur propre vulnérabilité.
Que faire face à la personne délirante ? Parler, se taire, évaluer, converser ?… À ce stade, le patient a avant tout besoin que l’on reconnaisse son expérience comme réelle. Action de premier secours, le Dialogue de crise vise à rétablir la communication.
Les « objets flottants » sont des tiers, véritables objets ou symboles, assortis de règles, qui médiatisent les échanges. Ils permettent de redécouvrir la relation de couple et de lui redonner du sens. Principes et illustration à travers l’histoire de Cathy et François.
Concrètement, élaborer un Plan de crise conjoint (PCC) se fait en 4 étapes : la rédaction, la validation, la consultation ou l’application, et finalement la révision. Éclairage clinique à partir notamment de l’expérience de Gilles, médiateur de santé pair.
Faut-il hospitaliser sans son consentement Maryse, qui traverse un épisode aigu de sa maladie, au risque du placement de ses enfants et d’un impact très négatif sur son équilibre affectif et familial ? Reconnaissant la valeur clinique du savoir expérientiel, les directives anticipées auraient probablement pu la rassurer et lui permettre de consentir aux soins…
Les directives anticipées psychiatriques constituent une piste prometteuse pour engager une relation partenariale dans les soins, en urgence comme en soins courants. À qui s’adressent-elles ? Que contiennent-elles ? Quels sont leurs effets ? Repères théoriques.
En pratique clinique, il peut être aussi difficile qu’inutile d’établir une limite rigide entre paranoïa et schizophrénie. Chaque situation est singulière, mais l’expérience permet d’anticiper certaines questions.
Face à un événement traumatique en milieu professionnel (suicide, agression, catastrophe naturelle…), des interventions psychologiques peuvent soutenir rapidement les salariés, sur le lieu même du travail.