Loi du 5 juillet 2011 : 50 M d’euros supplémentaires sont nécessaires
Dans une lettre conjointe adressée le 15 décembre à Xavier Bertrand, ministre du Travail, de l'Emploi et de la Santé, six associations (1) représentant les …
Dans une lettre conjointe adressée le 15 décembre à Xavier Bertrand, ministre du Travail, de l'Emploi et de la Santé, six associations (1) représentant les …
Ce livre cherche à donner un autre regard sur la maladie d'Alzheimer. Au travers de peintures, il témoigne de «la vie enfouie» qui anime ces …
La compulsion de répétition SOUS LA DIRECTION DE BERNARD CHERVET La compulsion de répétition se manifeste au cours de tout traitement psychique. Elle constitue la résistance la plus redoutable que …
L'équipe soignante d'un hôpital de jour a conduit une recherche portant à la fois sur les représentations de l'autisme des parents et sur leurs propres …
La mort et ses représentations restent des sujets plus tabous que la sexualité, y compris en psychothérapie et psychanalyse. Le thérapeute peut pourtant étayer et ranimer une pulsion du désir de vivre chez le malade. Ce cheminement passe par l’évocation des représentations de l’après-mort.
La nécessité d’organiser la prise en charge des fins de vie en psychiatrie s’impose progressivement mais rencontre de multiples freins. Expérience du Centre psychiatrique Saint-Bernard en Belgique.
Atteinte d’un cancer, Madame A., patiente psychotique hospitalisée depuis vingt ans au CHS de Bélair, exprime sa volonté d’y mourir. L’équipe soignante redoute cet accompagnement et sollicite l’aide d’une unité mobile de soins palliatifs.
L’accompagnement du passage de vie à trépas renvoie chaque infirmière au fondement anthropologique du soin. À l’hôpital général ou en psychiatrie, il s’agit d’être présente auprès d’un homme qui meurt avec toutes les émotions que cela suscite en nous.
Rodolphe, suivi en psychiatrie pendant vingt-trois ans, est décédé récemment d’un cancer. Malgré les alertes de sa famille, les symptômes somatiques liés à ses addictions n’ont pas été pris en compte.
La douleur, souffrance particulière rattachée au corps, est pluridimensionnelle et doit être traitée comme telle. Néanmoins, en psychiatrie, des défaillances subsistent dans la prise en charge des troubles somatiques, en particulier de la douleur, que l’on retrouve dans les situations de fin de vie.