HAS et autisme : une autorité de moins en moins haute
La Fédération d'aide à la Santé Mentale Croix -Marine constate que loin de faire avancer un consensus de bonnes pratiques, la Haute Autorité de Santé …
La Fédération d'aide à la Santé Mentale Croix -Marine constate que loin de faire avancer un consensus de bonnes pratiques, la Haute Autorité de Santé …
Pour la deuxième année, le réseau Ascodpsy a organisé un concours de nouvelles sur la psychiatrie et la santé mentale. La lauréate est Sylvie Bourdon, …
Retour sur un entretien avec Lucien Bonnafé paru en octobre 2000 dans le numéro 51 de la revue.
Devant l'ampleur des polémiques sur les différentes prises en charge de l'autisme, un groupe de professionnels et de parents invitent à retrouver de la sérénité …
La contraception pour les mineurs reste insuffisemment répandue : en 2010, en France, on a dénombré 18 000 grossesses adolescentes et 13 500 IVG. Le …
Avec Aline et sa sexualité débridée, nous avons avancé sans aucun des repères cliniques que la sexologie aurait pu nous fournir tout en sachant, qu’à elle seule, elle n’aurait pu éclairer son comportement. En institution, la sexualité telle qu’elle se manifeste, ou ce que nous en percevons, remet souvent en cause ce que nous croyons savoir.
Rencontre avec Suzanne Képès, gynécologue, médecin du travail, psychosomaticienne et directrice d’enseignement en sexualité humaine à l’université de Paris-XIII, autour de la psychosomatique sexuelle
Les différents concepts qui sous-tendent la théorie analytique et la pratique sexologique semblent confortés leur incompatibilité. Pourtant, la « sexothérapie analytique » emprunte pour l’essentiel à Freud et à la psychanalyse; elle doit le reste à l’expérience sexologique et à son pragmatisme
Les femmes viennent en consultation interroger une sexualité considérée en défaut. Elles allèguent de motifs divers dont les plus fréquents sont l’anorgasmie, la dysorgasmie, la frigidité, la dyspareunie, le vaginisme. L’ambiance de la consultation est empreinte de la subjectivité du symptôme. Évidemment, ce dernier ne fait pas le diagnostic et ne résume pas, à lui seul, cette femme.
Aujourd’hui, la santé sexuelle s’impose de plus en plus dans la consultation de tous les praticiens, médecins généralistes, psychiatres, urologues et sexologues se retrouvant au premier plan. L’irruption d’une pharmacopée sexuelle, en raison de la simplicité de sa prescription et de son efficacité sur le symptôme érectile, a profondément élargi la demande des patients. Mieux systématisée, la prise en charge des dysfonctions sexuelles masculines fait l’objet d’un travail en réseau.