Défis en cuisine
Notre infirmière expérimentée s’attelle à son premier atelier thérapeutique, autour de la cuisine.
Notre infirmière expérimentée s’attelle à son premier atelier thérapeutique, autour de la cuisine.
Comment une équipe rompue à la gestion de la violence peut-elle se laisser emporter par les troubles d’un patient difficile, au point d’y perdre certains de ses repères ? Serge, infirmier de nuit dans cette unité, tente de comprendre les mécanismes en jeu.
Dans le non face à face de l’entretien téléphonique, l’aptitude du soignant est déterminante pour transformer la crise. Mise en pratique avec l’antenne téléphonique de la centrale d’accueil et d’orientation psychiatrique de la fondation de Nant (Suisse)
Première journée en hôpital de jour pour enfants pour notre infirmière qui rentre chez elle «lessivée» mais avec… un poisson d’avril dans le dos !
Cela fait maintenant trois ans qu’Alexandre, jeune patient schizophrène et toxicomane, est mort. Je me suis un peu consolé. C’est-à-dire… pas tout à fait. Parfois je me dis que ce «petit prince» est revenu à sa planète. Mais ça, c’est bon dans les histoires de Saint-Exupéry. Dans la vraie vie, les petits princes disparues ne reviennent jamais.
Face à des patients toxicomanes, que peut-on faire, que doit-on faire ? A-t-on le droit de fouiller leur chambre ? Dans quelles conditions ? Que faire des produits illicites trouvés dans l’institution ou que les patients nous remettent , Autant de cas de figures qui méritent une mise au point.
La notion de comorbidité ou de double diagnostic est de plus en plus souvent évoquée en France. Avant d’imaginer des services spécifiques de prises en charge des «comorbidités», il faudrait que les services existants acceptent de redéfinir les frontières de leurs interventions.
Parce que les patients présentant des troubles psychiatriques associés à une consommation de substances illégales mettaient dans l’impasse les modes de prises en charge traditionnels, une équipe soignante belge a repensé, à partir de sa pratique, l’approche habituelle du double diagnostic.
« Les toxicomanes malades ont sur la société in droit imprescriptible, qui est celui qu’on leur foute la paix. » (A. Artaud)