Pairs aidants : pour que ça marche…
Inspiré par des expériences d’intégration salariée de pairs aidants aux États-Unis depuis environ deux décennies, le Québec soutient depuis 2006 son propre programme dit PAR …
Inspiré par des expériences d’intégration salariée de pairs aidants aux États-Unis depuis environ deux décennies, le Québec soutient depuis 2006 son propre programme dit PAR …
Dans le cadre des 9es Journées de la schizophrénie du 27 au 29 mars dernier à Lausanne, une première « Pecha Kucha » (sorte de …
La Conférence nationale de santé (CNS) estime que le Plan psychiatrie et santé mentale (PPSM) 2011-2015 doit être revu en profondeur.
Myrtille, une jeune patiente qui souffre d’autisme, fréquente l’hôpital de jour depuis trois ans. Elle reste une énigme pour l’équipe soignante… « Bécassine », infirmière nouvellement arrivée, tente de l’apprivoiser.
L’auteur montre la faiblesse conceptuelle et pratique d’une clinique et d’une
psychopathologie qui se réglerait seulement sur les troubles de la conduite et de l’humeur pour diagnostiquer et soigner. Il examine ce qui, des troubles cognitifs et de l’humeur, relève pour lui des effets d’une « structure » mélancolique.
La thérapie basée sur la pleine conscience (mindfulness) permet aux patients souffrant de trouble bipolaire de diminuer leur niveau d’anxiété et de stress et de développer une meilleure perception de leur fonctionnement symptomatique.
En phase intercritique, les personnes souffrant de troubles bipolaires peuvent bénéficier d’un lieu de vie original, le clubhouse. Ce modèle communautaire est particulièrement pertinent en matière d’emploi, de qualité de vie et de rétablissement.
En phase maniaque, la conscience du trouble bipolaire vole en éclats, ce qui compromet la prise en charge rapide et personnalisée. Élaborer à l’avance un plan d’action de crise permet au patient d’exprimer ses préférences quant à sa prise en charge, et aux soignants de recueillir des données sur ses signes de récidive.