Soins sous contrainte : du programme de soins à la ré-hospitalisation ?
La Lettre Actualités Droits-Libertés (ADL) offre un accès à des informations et analyses juridiques dédiées à l’actualité des droits et libertés en France, en Europe …
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La Fnap-psy (Fédération nationale des associations d'(ex)patients en psychiatrie) et la Conférence Nationale des présidents des commissions médicales d’établissements (CME) des centres hospitaliers spécialisés en psychiatrie ont signé le 8 décembre avec la secrétaire d’Etat à la Santé et aux Handicapés, Dominique Gillot, une « charte de l’usager en santé mentale ». Entretien avec Claude Finkelstein, présidente de la Fnap-psy.
La thérapie psychoéducative vise à informer le patient sur sa maladie, à lui apporter ainsi qu’à sa famille un soutien émotionnel rt à lui enseigner des techniques comportementales pour gérer sa maladie.
Entretien avec Marie-Noelle Schurmans, docteur en sociologie, professeur à l’université de Genève, auteur de « Maladie mentale et sens commun ».
La psychothérapie institutionnelle accueille la psychose à travers un dispositif collectif qui fait appel à la notion de « pacte soignant » et renvoie à la dimension du désir inconscient.
Quand la maladie vient opportunément remplir un vide et supplée un manque à être, on n’est pas loin de ce que Susan Sontag a nommé « La maladie comme métaphore » ; Damien, au terme de cette traversée, épingle cette figure de style, dans l’esprit de ce nouveau métier (il est correcteur de presse et d’édition) qui a ponctué son retour à la vie, à l’âge de 24 ans.
L’ergothérapie, en ne se focalisant pas sur l’objet créé mais sur l’acte créateur, permet au sujet schizophrène d’éprouver la possibilité d’un espace social partageable.
La thérapie psychomotrice dans les schizophrénies favorise la réappropriation par le patient de son histoire et le rétablissement du lien espace-temps.
La suppression massive de lits d’hôpitaux psychiatriques rend crucial le problème de l’autonomie des patients schizophrènes en matière de logement et oblige à chercher des solutions en termes de partenariat entre patients, familles, élus, soignants.
Grâce à l’établissement d’un « diagnostic social », l’assistante sociale apporte à l’équipe médicale dans son ensemble l’éclairage spécifique et complémentaire qui lui permettra d’adapter le traitement à une réalité sociale donnée.