Il n’est pas rare aujourd’hui de voir que des poupées ou des peluches sont mises à disposition des personnes âgées vivant en Ehpad, notamment dans les unités de vie accueillant des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Mais qu’en est-il de l’utilisation de ces objets qui, pour une part, font aujourd’hui l’objet d’un marché commercial ? À quoi répondent-ils sur le plan psychique chez des adultes âgés dont la pensée se défait ? Quelle est leur fonction pour les patients comme pour les soignants ? En quoi sont-ils ou ne sont-ils pas des objets transitionnels ? Nous proposons d’interroger ici ce qui se joue, ou ne se joue pas, avec de tels objets et quelle peut être leur place dans les pratiques cliniques.
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