En psychiatrie, la santé bucco-dentaire est très souvent mauvaise, en grande partie du fait de l’altération de la santé orale perçue des patients. Ce concept permet de penser le refus de soin des usagers et de poser des repères dans une « logique de soin », au-delà du dilemme éthique qui opposerait volonté du patient et obligation de soins.
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