Les effets pervers de la pseudo reconnaissance des infirmières…

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Aporia est une revue trimestrielle canadienne en libre accès, consacré aux débats académiques en sciences infirmières et sciences de la santé dont la rédaction en chef est assurée par Dave Holmes, Inf., PhD(1), qui apporte régulièrement sa contribution à Santé mentale. Critique, elle promeut une perspective pluraliste de la science et accueille des articles. À cet effet, l'équipe éditoriale accueille des manuscrits critiques dans le domaine des sciences infirmières et des sciences de la santé qui incluent (entre autres) des critiques de discours dominants centrés sur la médecine fondée sur les preuves (ou médecine fondée sur les données probantes), les lignes directrices de pratiques exemplaires, le transfert des connaissances (knowledge translation), le managérialisme, les soins infirmiers et les pratiques en santé, l'éthique, la politique et les politiques en matière de santé, la technologie, la bioéthique, la biopédagogie, le biopouvoir…

Aporia est un journal en ligne gratuit. À l'instar de Deleuze et Guattari, l'équipe d'Aporia est d'avis que la liberté n'est possible que dans la marge, un espace autonome, polémique et sans censure qui ne sacrifie rien à la rigueur scientifique et académique. Il s'agit donc de favoriser l'accès aux connaissances scientifiques, de laisser, au lecteur, l'occasion de se positionner de manière active par rapport aux mots écrits, et de donner au texte une pluralité de significations.
A lire notamment dans le n°3 de juillet 2013, un édito qui réveille sur la pseudo-reconnaissance accordée aux infirmières…

(1) Dave Holmes, Professeur titulaire École des sciences infirmiéres, Faculté des sciences de la santé Université d'Ottawa Ontario