Bipolarité et troubles du sommeil
Les troubles du sommeil occupent une place centrale dans la physiopathologie des troubles bipolaires, qui peut être considérée comme une maladie du sommeil et des …
Les troubles du sommeil occupent une place centrale dans la physiopathologie des troubles bipolaires, qui peut être considérée comme une maladie du sommeil et des …
Sommeil et dépression sont intimement liés. Les troubles du sommeil, et surtout l’insomnie, sont très souvent associés à la dépression et à l’inverse, celle-ci s’accompagne …
Si le traitement de choix de l’insomnie chronique reste les thérapies cognitivo-comportementales, en pratique,
ce sont les traitements médicamenteux, par le biais des benzodiazépines à visée hypnotique, qui occupent la plus
large place. Des précautions s’imposent.
L’intervention de crise apparaît comme la tentative de transformer une situation de détérioration et de souffrance en une occasion d’évolution positive. Elle doit donc être située du côté de la psychothérapie.
À Marseille, ville multiculturelle, l’unité de soins intensifs brefs Ulice est souvent confrontée à des situations de crise au sein de familles d’origine étrangère. L’outil privilégié de lecture reste l’approche phénoménologique. Illustration avec une famille originaire du Cambodge.
Le sentiment d’urgence plane souvent sur la crise et la masque de son ombre. Dès le premier appel, l’équipe d’intervention de crise (ERIC) tente d’entrevoir ce qui fait crise avant de construire une éventuelle intervention d’urgence. Illustration.
De moins en moins pratiqué, l’entretien de crise, pourtant bien théorisé, permet de prévenir de nombreuses hospitalisations, de les raccourcir et d’éviter le recours à l’isolement et à la contention.
L’hypocondrie doit être envisagée comme une pathologie faite de croyances erronées sur la santé et d’interprétations catastrophistes sur les symptômes physiques. Elle se développe sur un terrain miné par des failles narcissiques et un non-accès à la liberté intérieure.
Phénomène bien connu (trop ?) des services de soin pour personnes âgées, la chute est un passage à l’acte par le corps. Dans le cadre d’une Évaluation des pratiques professionnelles, une équipe a mis en place différentes mesures qui envisagent la chute comme un symptôme à part entière dans la vie psychique et corporelle du sujet âgé.
Amy, 68 ans, souffre de dépression récurrente. Elle accumule les objets et vit entourée de chats, dans une incurie évidente. Diagnostiquant un syndrome de Diogène, des soignants font l’hypothèse qu’un trouble de la sensorialité en serait à l’origine et intègrent à leur prise en charge une médiation sensorielle.