Addictologie : la réhab passe par le corps!
Sonia, la trentaine, souffre de boulimie avec crises hyperphagiques. Une prise en charge kinésithérapique est instaurée, dans une perspective de réhabilitation psychosociale appliquée à l’addictologie.
Sonia, la trentaine, souffre de boulimie avec crises hyperphagiques. Une prise en charge kinésithérapique est instaurée, dans une perspective de réhabilitation psychosociale appliquée à l’addictologie.
« Je ne pensais pas être capable de tout ça ! » Régulièrement suivies au CATTP, Fayrouz, Allia, Nour et Yvette participent chaque semaine à des ateliers de psychomotricité. Ces activités leur permettent petit à petit de réinvestir leur corps et de gagner en confiance. Retour d’expérience après un an de pratique.
Placé en foyer pour négligence maternelle, Lucas, 15 ans, ne trouve pas sa place et ne s’engage dans aucune activité, sauf le jeu vidéo. L’occasion pour l’adolescent de transférer sa corporalité sur les avatars qu’il investit comme des « doubles tranfériels ».
La psychodermatologie objective les liens cliniques entre psychiatrie et dermatologie. Elle distingue les troubles psychiques liés aux dermatoses, les troubles psychiatriques à expression cutanée et les dermatoses dont l’évolution est influencée par des facteurs psychiques.
Hospitalisé en psychiatrie pour des angoisses massives, Tristan, 54 ans, se replie dans sa chambre et ne se déplace qu’avec lenteur et mollesse. Une prise en charge psychocorporelle lui permet de réinvestir son corps, de retrouver des appuis solides et une mobilité qui vont l’aider à se reconstruire psychiquement.
La maladie cancéreuse et ses traitements induisent une réelle crise existentielle qui risque de se transformer en impasse. Une démarche psychothérapeutique psychosomatique permet d’articuler l’histoire actuelle et passée du sujet. Illustrations cliniques.
Le vieillissement passe par le corps biologique mais surtout par la façon dont chacun intègre corps et psyché. Il révèle aussi que le travail de la mort est intrinsèque à l’humain et à la vie.
L’hypocondrie doit être envisagée comme une pathologie faite de croyances erronées sur la santé et d’interprétations catastrophistes sur les symptômes physiques. Elle se développe sur un terrain miné par des failles narcissiques et un non-accès à la liberté intérieure.
Alice et Robert ont plus de 80 ans. La belle romance des débuts se lézarde. Que reste-t-il de leurs corps et de leur passion d’autrefois ? Comment faire le deuil d’un conjoint idéalisé
pour l’investir autrement ?
Toujours plus âgés et en meilleure santé, les « vieux » d’aujourd’hui paraissent bien différents de ceux du temps jadis. Pourtant, ils partagent certaines préoccupations existentielles et les peurs.