Harcèlement moral au travail : ce que dit la loi…
Alors que le législateur s’attache davantage aux conséquences et aux effets du harcèlement moral au travail plutôt qu’à la définition du concept, obligations des acteurs de santé dans ce domaine ?
Alors que le législateur s’attache davantage aux conséquences et aux effets du harcèlement moral au travail plutôt qu’à la définition du concept, obligations des acteurs de santé dans ce domaine ?
La définition qui suit est celle contenue dans le projet d’avis intitulé « Le harcèlement moral au travail » du Conseil Économique et Social (mars 2001).
La clozapine est une option thérapeutique très efficace dans le traitement de certains types de schizophrénies résistantes. Cependant, en raison de ses effets secondaires son utilisation reste très encadrée. Cet article s’intéresse plus particulièrement aux troubles cardiaques pouvant survenir avec ce type de traitement.
Dans bien des cas de harcèlement moral au travail,la situation est prise en charge à un stade de dégradation tellement avancé que la seule solution va être le retrait de la victime. Cependant, la reconnaissance et l’élucidation du conflit de normes et de valeurs constituent un enjeu de santé pour la victime.
Les protocoles apparaissent à la fois comme un outil de validation des pratiques et comme une formalisation rendue absurde par la résistance des certaine forme de substitution du tout écrit à l’oral.
Que ces quelques réflexions puissent nous réconcilier avec ces chambres fermées que sont les chambres d’isolement en leur donnant tout leur sens médical et contribuer ainsi à en réduire le risque iatrogénique.
Mener une démarche qualité, et notamment lutter contre les infections nosocomiales,dans un établissement de soins psychiatriques repose sur une mobilisation intense de l’ensemble des partenaires de soins prêts à évaluer leurs pratiques et surtout à les améliorer.
C’est un fait avéré, les patients présentant des troubles psychiatriques ont plus de problèmes de santé buccodentaire que la population générale et les traitements sont parfois difficiles à réaliser. Si nous prenons le temps nécessaire pour les motiver, il est tout à fait envisageable de soigner, réparer et réhabiliter.
Le syndrome métabolique est un véritable problème de santé publique. Il est important de le prévenir, de le détecter et de traiter les anomalies qui le constituent d’autant qu’elles représentent un risque sérieux pour les patients suivis en psychiatrie qui présentent des taux de mortalité et de morbidité standardisés plus élevés que la population générale.
L’observation des cas d’intoxication par l’eau chez des patients schizophrènes chroniques hospitalisés en service de psychiatrie est à l’origine de notre réflexion à plusieurs niveaux : clinique, psychopathologique, physiopathologique et thérapeutique.