En relaxation psychosomatique, le travail thérapeutique consiste à rattacher les éléments de l’histoire du sujet à la relation tonique, puis à faire le lien entre la pathologie psychosomatique, le tonus, et ce qui est en train de se dévoiler.
Les méthodes de relaxation sont efficaces dans le traitement de nombreuses pathologies organiques et psychiatriques, presque toujours associées à d’autres méthodes psychothérapiques ou médicales. L’indication doit être posée après une analyse fonctionnelle minutieuse précisant les objectifs et le type de méthode à employer.
La plupart des méthodes de relaxation proposées aujourd’hui en France dérivent des deux méthodes de référence que sont le Training autogène de Schultz et la relaxation progressive de Jacobson.
Se concentrer sur son corps pour se relaxer dans un but thérapeutique, c’est aller à la rencontre de soi-même, de son histoire tonique et sensori-motrice, de ce qui a été l’origine de la construction de notre être… La relaxation est bien une psychothérapie qui prend en compte le travail sur les sensations.
La relaxation est un instrument paradoxalement sous tension de par son contact avec l’activité psychique humaine… Retour sur les sources et les fondements de la relaxation en tant qu’outil thérapeutique…
Analyse critique des recommandations de la Haute Autorité de Santé sur l’éducation thérapeutique, lesquelles font l’impasse sur les données de la recherche infirmière…
Evolution de la place de la famille au sein de l’institution psychiatrique… et pourquoi pas une maison des usagers à l’hôpital ?…
Les relations des soignants avec les familles de leurs patients sont riches de contradictions. Si le premier contact avec le patient détermine souvent la qualité de la prise en charge à venir, la nature du premier contact avec la famille conditionne tout autant l’avenir de la relation triangulaire patient – famille – soignants.
Et si la famille, de charge supplémentaire, devenait facilitateur du soin, alliée du soignant ? Si, à condition d’être en état de devenir « partenaire », elle devenait aidante, complétant et adoptant ainsi le soin à la personne qui souffre ?
« Je dirais que les familles savent, mais qu’elles ne savent pas qu’elles savent et qu’elles ne savent pas ce qu’elles savent. »
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