L’intervention de la loi
En matière de violence conjugale, il est nécessaire de concilier, par une réponse pénale adaptée, la réparation de la victime, la répression du mis en cause et la prévention de toute réitération ou récidive.
En matière de violence conjugale, il est nécessaire de concilier, par une réponse pénale adaptée, la réparation de la victime, la répression du mis en cause et la prévention de toute réitération ou récidive.
Les prises en charge individuelles et/ou groupales de femmes victimes de violences conjugales ouvrent un espace où la souffrance peut se dire, permettant alors à l’individu de tenter de se reconstruire.
Les femmes arrivent dans ce Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (CHRS)avec leur douleur d’exister. Les professionnels qui les accueillent tentent de les entendre pour qu’elles s’entendent… enfin .
Les psychotiques vieillissent mais restent néanmoins bien vivants… Les soignants et la psychiatrie, qui vieillissent aussi et pas toujours très bien, ne doivent pas faire semblant de les soigner…
Les personnes en situation de handicap psychique présentent-elles, en vieillissant, des demandes spécifiques ? L’expérience des familles adhérentes à l’Unafam de l’accompagnement au quotidien, et au long cours de leurs proches, permet d’évoquer quelques perspectives d’avenir en la matière.
Dès qu’un patient psychotique « entre deux âges » ne peut plus vivre au domicile, la recherche d’un nouveau lieu de vie est un véritable …
Combattre la stigmatisation exercée à l’encontre des personnes âgées les plus vulnérables relève des gouvernements, des organisations non gouvernementales, des associations de patients, des familles et de la communauté en général mais, à l’évidence, elle constitue l’une des missions les plus délicates des professionnels de la santé mentale.
Cet article rend compte des observations et des problématiques étudiées pendant près de trente années auprès de personnes autistico-psychotiques infantiles, parvenues à l’âge adulte, puis vieillissantes.
L’ état de nos connaissances du trouble bipolaire chez le sujet âgé demeure très insuffisant. Ces lacunes ont sans aucun doute des répercussions sur l’établissement du diagnostic et sur la prise en charge. Un constat qui encourage à entreprendre de nouvelles études.
La réévaluation d’un traitement neuroleptique au long cours peut se révéler un facteur d’amélioration significatif de la qualité de vie chez le patient psychotique âgé.