Le psychisme n’existe que dans son rapport avec d’autres. Les processus psychiques d’un sujet ne sont donc repérables que dans le rapport, dans le lien, dans la rencontre, avec un autre sujet. Toute psychopathologie est fondamentalement une psychopathologie du lien.
Chaque humain vaut beaucoup plus que tout ce que la psychologie pourra dire de lui, chacun est beaucoup plus grand que cet emplacement qui lui est réservé dans le champ des théories de la personnalité.
L’étude des troubles de la personnalité soulève le problème du choix des critères qui permettent de fixer la frontière entre le normal et le pathologique et de ceux qui permettent de distinguer trouble de la personnalité et maladie mentale.
Le concept de trouble de la personnalité est aujourd’hui exposé à de multiples questionnements. Ceux-ci portent à la fois sur la meilleure caractérisation clinique de ses différentes manifestations, sur leur étiopathogénie et sur les thérapeutiques les plus adaptées à leur prise en charge.
En quoi les CMP sont-ils concernés par la question de la délinquance secuelle ? Pourquoi seraient-ils exclus du champs de cette problèmatique ? Un sujet d’actualité débattu lors des 15 ème Rencontre nationale des CMP organisé les 11-12 et 13 mai 2009 par ERAP FORMATION
Le Comité Sida, Sexualités, Prévention (CSSP) de Ville-Evrard propose aux soignants une formation intitulée «Comment aborder la sexualité avec les patients suivis en psychiatrie». L’occasion pour le formateur de pointer les principaux freins à la prise en compte de la sexualité en institution psychiatrique.
Comment aborder la sexualité avec les patients suivis en psychiatrie». L’occasion pour le formateur de pointer les principaux freins à la prise en compte de la sexualité en institution psychiatrique.
Dans les années quatre-vingt, l’arrivée du sida a révélé la nécessité d’assurer d’une façon particulière, en raison de la vulnérabilité psychique, somatique et sociale des patients atteints de troubles psychiatriques, une information et un travail de prévention sur les risques inhérents aux pratiques sexuelles.
Une expérience menée à l’Institut Maïeutique de Lausanne, en Suisse, montre que pour intégrer la question de la sexualité dans les soins, il faut que le projet soit porté par l’équipe dans un travail de co-construction.
Avant la mise en place d’un groupe de parole autour de la sexualité, de nombreux préalables sont à explorer (définition des concepts, formation des soignants, partenariats extérieurs, soutien institutionnel…), sans oublier la question centrale de la demande des patients.
À travers l’histoire d’Hélène, une patiente souffrant de schizophrénie, Virginie, l’infirmière enceinte, fait le parallèle entre deux vies psychiques de femmes qui s’interrogent, à leur manière, sur l’identité féminine, la sexualité et leur rapport à la mère.
Plusieurs numéros autour d’un thème à prix préférentiel
N° 150 Adolescence et addictions
N° 192 Alcool : abstinence et/ou réduction?
N° 196 L'addiction sexuelle
N° 295 Addiction numérique ?
N° 262 Activités physiques en psychiatrie
N° 274 Agitation : comment s'adresser au corps ?
N° 282 La relaxation, entre détente et thérapie
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