Fin de vie : les vérités du soin
L’Espace éthique présente dans un dossier spécial « quelques questions fortes » sur le respect de la personne en fin de vie, issues de ses deux ans …
L’Espace éthique présente dans un dossier spécial « quelques questions fortes » sur le respect de la personne en fin de vie, issues de ses deux ans …
De plus en plus de parents, inquiets, cherchent à vérifier à partir d’un test urinaire de détection du THC si leur adolescent consomme du cannabis, au risque de ruiner toute chance de dialogue constructif.
Deux chiens ont été introduits dans une unité de soins pour patients souffrant de psychose chronique non stabilisés. Cette initiative originale bouleverse le quotidien de tous et crée de multiples occasions de soins et de rencontres.
Qu’entend-on par délinquance juvénile ? L’approche sociologique
conduit à souligner la diversité des comportements et des parcours. On en distingue trois types : « pathologique », « initiatique » et « d’exclusion » ainsi que la notion de « carrière délinquante ».
Franck a déjà passé de longues années en prison quand il est condamné pour un homicide violent. Au fil des expertises psychologiques et des enquêtes sociales, sa personnalité psychopathique apparaît, se construit, avec des moments de basculements repérables dans l’après-coup.
Michaël est pris en charge à sa sortie de prison dans le cadre de soins pénalement ordonnés. Dans un premier temps, une consultation spécialisée post-pénale pose les bases de la prise en charge. L’essentiel du travail infirmier réside dans la permanence, la disponibilité et la contenance pour restaurer le lien.
En prison, les détenus psychopathes sollicitent et mobilisent les soignants. Il s’agit donc de supporter ce lien ambivalent, de le soumettre sans cesse au travail de pensée du groupe de soin. Expérience d’un Service médico-psychologique régional (SMPR).
Les dysfonctionnements liés à la psychopathie provoquent a priori une difficulté à élaborer des jugements moraux.
Dès lors, les psychopathes sont-ils responsables de leurs actes ? Éclairage philosophique.
Évaluer le degré de psychopathie permet d’envisager la prise en charge et d’appréhender le niveau de risque de
récidive. À cette fin, des études ont validé des outils actuariels et des outils cliniques structurés.