La zoopédagogie en qualité de prévention au harcèlement et autres problèmes scolaires
L’animal familier contribue au développement affectif et à l’équilibre de l’enfant. Il occupe un rôle très important dans l’épanouissement du bébé dès son plus jeune âge. Je dirai même dès la naissance. En commençant par le premier « doudou » que l’on achète au bébé. Doudou qui se présente la plupart du temps sous la physionomie d’un animal familier, tel un lapin, un nounours, une petite souris…
Lire, écrire, compter, ces apprentissages sont la base du cursus scolaire. Un enfant connaissant des difficultés en ces domaines court un risque accru de marginalisation, voire de stigmatisation, et une difficulté ultérieure d’insertion sociale. Les principaux troubles des apprentissages scolaires sont la dyslexie (trouble spécifique de la lecture), la dyscalculie (trouble spécifique du calcul) et la dysorthographie (trouble spécifique de l’expression écrite).
Le jeune que l’on associe au quotidien de l’animal, c’est-à-dire à son espace temporel, nous permettra de construire un programme, un projet qui va le stimuler, le responsabiliser, lui permettre de se prendre en main de prendre ou reprendre confiance en lui. Ce qui laisse à dire que l’animal est un excellent partenaire d’affectivité, d’estime en soi, de capacité de faire, d’équilibre, de responsabilité, de dialogue, d’ouverture envers les autres. L’animal est un communiquant remarquable pour les jeunes.
Colloque ouvert à tous et organisé par l’institut français de zoothérapie
Rens. : https://www.institutfrancaisdezootherapie.com/