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N° 251 - Octobre 2020
Covid-19 : quand la téléconsultation s’impose…
Nbre de pages : 6
La clinique du psychotraumatisme apporte un éclairage précieux sur les effets psychiques de l’épidémie de covid-19. En perturbant l’assise narcissique habituelle assurée par l’illusion de l’immortalité, ce virus provoque en effet un réel vécu traumatique.
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N° 251 - Octobre 2020
Ergothérapie à distance auprès des adolescents
Nbre de pages : 6
Durant le confinement lié à l’épidémie de covid-19, des ateliers d’écriture, de dessin et d’estime de soi ont été proposés en télésoin à des adolescents. Le retour d’expérience d’une ergothérapeute montre que ce dispositif n’altère pas le processus thérapeutique et permet de maintenir un « équilibre occupationnel ».
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N° 251 - Octobre 2020
L’entretien clinique infirmier au téléphone
Nbre de pages : 4
L’utilisation du téléphone dans les soins n’est pas une nouveauté mais son usage en lieu et place de la relation face-à-face doit être réfléchi. Repères.
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N° 251 - Octobre 2020
Covid-19, maladie de la solitude
Nbre de pages : 6
L’épidémie de covid-19 et les mesures sanitaires qu’elle entraîne nous contraignent à une sorte de huis-clos avec nous-mêmes. Cet épisode va marquer durablement le fonctionnement psychique des individus et du collectif. Contribution à une psychopathologie des pandémies.
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N° 250 - Septembre 2020
Retrait social, claustration, hikikomori, de quoi parle-t-on ?
Nbre de pages : 8
Comment un adolescent ou un jeune adulte passe-t-il de l’enfermement « salutaire » à la claustration dans sa chambre ? Synonyme d’une souffrance et d’un tabou qui contaminent peu à peu toute la famille, la conduite hikikomori, gangue d’enfermement et/ou de protection, interroge la psychiatrie.
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N° 250 - Septembre 2020
Hikikomori : quelles prises en charge ?
Nbre de pages : 6
Face au retrait social de l’adolescent ou du jeune adulte et à la souffrance qu’il engendre, les approches thérapeutiques doivent porter en priorité sur la résolution de la claustration. De la guidance familiale au soutien individuel, perspectives et expériences de prises en charge.
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N° 250 - Septembre 2020
Hikikomori : l’hôpital en dernier recours
Nbre de pages : 6
En un peu plus de deux ans, Étienne, 19 ans, s’est coupé de toute vie sociale et familiale. Face à des menaces suicidaires et une forte agressivité, sa mère accepte une hospitalisation sous contrainte. Retour sur les spécificités de cette prise en charge institutionnelle, globale et variée.
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N° 250 - Septembre 2020
Retrait pathologique à l’adolescence
Nbre de pages : 6
La recherche met en évidence des facteurs déterminants sur le plan psychopathologique et développemental dans les conduites de retrait pathologique de l’adolescent. Aspects cliniques et repères.
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N° 250 - Septembre 2020
Hikikomori, un phénomène polymorphe
Nbre de pages : 8
Le phénomène hikikomori met en travail la question du normal et du pathologique. L’approche psychanalytique permet d’appréhender les dynamiques psychiques mobilisées et de décrypter des situations familiales toujours complexes. Illustration avec les cas d’Isaac et de Ben.
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N° 250 - Septembre 2020
Corps et genre des jeunes en retrait
Nbre de pages : 6
Réflexion anthropologique sur la quête de soi des jeunes garçons en retrait social, qui vivraient une forme inversée de l’anorexie, dans leur rapport au corps, à leur identité sexuelle et leur sexualité, ainsi qu’à l’alimentation.
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