
Acheter un article

Utiliser l’humour comme levier du soin est une idée ancienne
en psychiatrie mais loin d’être évidente. À partir de la lecture
partagée de scènes humoristiques, le groupe thérapeutique
« rire à propos » témoigne de son expérience.
Méthode de description et d’évaluation clinique et
psychopathologique des états psychotiques, la COP 13® permet d’examiner le fonctionnement d’un patient dans sa relation à l’autre, à travers plusieurs prismes.
L. est suivie depuis plus de vingt ans à l’ASM 13. Retour sur son parcours de soin à la lumière de la cotation COP 13® qui permet de mesurer les domaines précis d’évolution.
En psychiatrie, les soins informels occupent une place importante dans le travail infirmier. Une recherche en soins a identifié quatre grandes fonctions – explicitation, réglage,
psychodramatisation, accompagnement au quotidien – qui étayent la cognition sociale.
L’enfer est parfois pavé de bonnes intentions. La relation à l’autre, pour Gérard, diagnostiqué schizophrène, est entièrement régi par l’imaginaire, ce qui lui permet de tenir sa place dans le monde. Il n’est pas sûr qu’il faille trop y toucher.
Comment articuler soins et accompagnement sans les confondre, de façon à ce que le patient se construise une « continuité d’existence » ? Repères et pratiques.
De nombreuses recherches objectivent le rôle de la famille avant, pendant et après la crise suicidaire. Les soignants peuvent s’appuyer sur ces éléments pour mettre en oeuvre le soutien et l’accompagnement des familles dans la prévention du suicide.
Pour les thérapeutes systémiques, la tentative de suicide est avant tout une tentative d’autonomie de la famille d’origine. Elle reste une crise et révèle une structure familiale relationnelle organisée autour de la menace de séparation.
Depuis plusieurs années, l’hôpital de Poissy propose aux jeunes suicidants et à leurs familles un protocole associant prise en charge pédiatrique et thérapie familiale brève. Il s’agit de permettre à ces familles de se mobiliser pour éviter un nouveau passage à l’acte
Les recherches en neurosciences montrent que les personnes victimes de maltraitance dans l’enfance sont davantage sujettes aux troubles psychiatriques et aux conduites suicidaires. Les cliniciens doivent donc porter leur attention sur le repérage des antécédents de trauma.