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Avec l’avancée en âge et en particulier dans le grand âge, le besoin d’avoir un orgasme est moins prégnant et peut laisser place à la dimension relationnelle de la sexualité. Le terme de « relation sexuelle » prend alors toute son ampleur
Si peu de couples vivent ensemble en institution, le couple s’impose néanmoins souvent dans le soin, d’une manière plus ou moins directe. Les soignants doivent rester vigilants à ce que l’image infantile du couple parental supposé tout-puissant n’éveille leurs fantasmes d’omnipotence.
La résilience, reposant sur le triptyque narcissisme, mentalisation, objet, est examinée dans le cadre de deux couples âgés dont la femme est atteinte l’une de la maladie d’Alzheimer et l’autre d’un accident vasculaire cérébral.
Le veuvage est une expérience inévitable de la vieillesse. Comment s’enclenche le deuil? Quels sont les processus à
l’oeuvre entre idéalisation et réinvestissement?
Le couple vieillissant, malgré les contentieux et les mouvements de haine du quotidien, s’encorde plus que
jamais à l’approche des risques de chutes du corps et du précipice de la mort, au prix parfois d’interactions
agressives et violentes.
Un psychologue systémicien intervient au domicile d’un couple âgé dont l’un des conjoints souffre de la maladie d’Alzheimer. Il construit d’abord une alliance thérapeutique qui permet à la famille de faire face à la crise et d’ouvrir la prise en charge à d’autres professionnels.
Valentine, 78 ans, qui « fait tout » pour son mari plus âgé et dépendant, inquiète les services sociaux par ses propos suicidaires. Au cours de visites à domicile régulières, une infirmière de gérontopsychiatrie introduit du tiers dans un fonctionnement de dyade fusionnelle.
Devenir grand-parent suppose un travail psychique de l’individu mais également du couple, qui doit redéfinir les rôles, identifier de nouveaux talents et pour chacun rechercher la validation du conjoint dans ses compétences grand-parentales.
La conceptualisation moderne des troubles schizophréniques aboutit à considérer que c’est la vulnérabilité à la maladie qui est chronique et non la schizophrénie elle-même. Or des traitements appropriés faisant appel à la collaboration des patients et des familles peuvent vaincre cette chronicité et aboutir à une meilleure qualité de vie des personnes souffrant de schizophrénie.
La mise en évidence de facteurs de vulnérabilité génétique à la schizophrénie devrait prochainement permettre d’améliorer le diagnostic et bouleverser la nosographie de cette affection, favorisant ainsi la mise au point de médicaments spécifiques qui agiraient non seulement sur les symptômes mais aussi sur les anomalies qui prédisposent à la maladie